circulez rien à voir blog de la section socialiste des 3 pointes

Lorsque le politique s'efface face à l'économique il ne nous reste plus que la rue.

On se fait concurrence sur le dos des salariés.Celà n'est ni concevable,ni acceptable.

Il es toujours plus facile de tirer des royalties d'une non organisation à laquelle on travaille que de rechercher l'organisation collective,politiquement constituée et permettant finalement à un territoire,un continent,une zone économique de résister aux ravages humains d'une mondialisation que nous n'avons pas tant délibérés que celà.

Nôtre pays se trouve actuellement en anomie.

Situation dans laquelle se trouve les individus lorsque les règles sociales qui guident leur conduite et leur aspirations perdent leur pouvoir,sont incompatibles entre elles,ou lorsque minées par les changements sociaux elles doivent céder la places à d'autres.

Durkheim à montré que l'affaiblissement des règles imposées par la société aux individus à pour conséquence d'augmenter l'insatisfaction et la démoralisation de l'individu.

Il y a anomie au niveau de la division du travail social lorsque que la coopération est remplacée par le conflit et la concurrence et lorsque que les valeurs qu'acceptent  ou les buts que se fixent les individus cessent d'être collectifs pour devenir de plus en plus individualisés.

L'individualisation des buts et des valeurs est une des sources principales des conflits.

C'est à l'heure actuelle l'enjeu des négociations qui vont se tenir le 10 et 11 janvier au siège du Medef entre la représentation des employés et leurs patrons.Sur un texte proposé par les organisations patronales de France.

Dans un pays déjà fortement touché par l'anomie depuis quelques années,il serait bon de s'interroger sur les résultats d'une nouvelle libéralisation du travail?

Anomie+anomie=misère pour tous